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Sociable, le journal en ligne d'un gay à Paris
10 août 2007

Tout... ou rien !

Haaaaaa... le repos, le grand soleil, la mer, ne rien faire, août, les vacances (et dans une moindre mesure mais quand même : la famille) : ça fait du bien. Ce jeudi m'a été bénéfique. Levé à 11h, petit-déj. sur la terrasse (mon coca du matin à la main), petit tour à la Maison de la presse acheter Le Monde (tout petit lui aussi, ça semble être également l'été à la rédaction !), petite balade dans les quelques petits commerces du coin pour acheter un maillot de bain (car j'ai oublié le mien) : si les prix des maillots étaient petits, c'était sans doute parce qu'il n'y avait pas de grandes marques, et moi, ça m'a fait chier. Alors, je n'en ai pas acheté. Je préfère ne pas me baigner que de me froquer avec une merde à 19,90 euros.
J'ai quand même trouvé deux paires de tongues (car j'ai oublié les miennes aussi). De retour, ma mère a trouvé bizarre que je me sois acheté 4 tongues, tout comme j'ai trouvé étrange qu'elle dise "quatre tongues" et pas "deux paires de tongues". En vacances, on se trouve les bizarreries qu'on peut.
Ensuite, ce fut petit apéro (un coca pour moi) et gros dîner parceque dans la famille, ils ne savent pas cuisiner léger. A part acheter "4 tongues" donc et m'être pris un coup de soleil en pleine face, je peux résumer la journée d'un "il ne sait rien passé".
Ce vendredi sera plus agité puisque j'irai passer la journée sur une île du sud-Bretagne (où je n'ai plus mis ni le pied gauche, ni le droit depuis au moins 10 ans). Une vraie île, hein... entourée d'eau... pas raccrochée à plein de trucs par plein de ponts ! Non, une île avec des plages, un village, trois routes et 4 voitures. Une île avec de l'air iodé, de grandes fougères, du sable fin, des voiliers et des pêcheurs.
Et si ça se trouve, une île blindée de touristes qui jettent leurs papiers partout, faute de poubelle, avec des boulettes de pétroles collées aux rochers, des gamins qui crient, des prix élevés, des campings sauvages... et, vraisemblablement, sans même un cocotier, ni magasin Printemps ou boutiques Dior ou Kenzo et surtout sans café Costes, bref... un trou du cul du monde pour bidochons en vacances. En un mot : une horreur.
Je ne sais pas si je vais y aller finalement.. ?!?...

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Commentaires
G
Et cette overdose d'oxygène ça se passe comment?????<br /> <br /> Muarf...<br /> <br /> Dire que j'angoisse quand je me retrouve dans le 94, alors sur une île sans voiture de Bretagne sud, je meurs, tout simplement...<br /> <br /> Qui a dit "connard de parigot"? Oui et alors????? Pfff....<br /> <br /> Courage!
B
En fait, il te faudrait une ïle en pleine ville, sans le côté bidochon...<br /> "je t’adore mon île<br /> tout juste au centre-ville<br /> et ta belle gardienne <br /> Notre-Dame la reine <br /> ma chère souveraine <br /> au delà de la Seine"<br /> Comme le dit si bien Brigitte F.
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