Dépasser le périph'
J'vous passe le réveil difficile à 10h15, le mal au bide, les envies de rester coucher... Mais, finalement, après la douche mais sans mon coca du matin pour cause de rupture de stock, je suis plutôt de bonne humeur. Scooter, achat d'un coca chez le Chinois à côté du bureau et me voilà presqu'à l'heure devant mon ordi. Il fait beau et ça ne va pas si mal. Pas de descente (pour l'instant). La journée s'annonce normale.
Il me faut être patient car il est probable que les agences dans lesquelles j'ai déposé un dossier pour mon futur appart' ne me donnent pas de réponse avant... lundi. Je partirai bien en week-end à la campagne (je devais travailler dimanche mais en fait non), mais où ?... Et puis cela veut dire dépasser le périph' et ça, ça se prépare psychologiquement et je ne suis pas certain d'être prêt.
De toute façon, comme l'affiche si bien Dfp, "I love rien. I'm Parisien". Alors, je crois que je vais rester à Paris.